Théâtre : "Cabaret Décadance" et "La Tempête"

SOMA présente :

"Cabaret Décadanse"

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Le ‘Must-see’ du spectacle de marionnettes pour adultes

] Présenté par la critique internationale comme une ‘merveille absolue’, Cabaret Décadanse met en scène d’incroyables marionnettes, dans de courts numéros musicaux sensuels, surprenants et hilarants, ou se succèdent Tango, Musique Africaine, Blues, Jazz, Music-Hall et Pop, entre théâtre et variété. Avec Mauve la Sartlette, Lorraine la Diva, Kiko le Latin Lover et Conrad le Travesti, Cabaret Décadanse a remporté le Prix du Public au Festival ‘ Juste Pour Rire’ de Montreal en 1999 et se produit depuis lors sur les planches du monde entier. _ Avec le soutien de la Délégation Générale du Québec à Londres (Ministère des Relations Internationales) _ « Prenez Priscilla, Reine du Désert, dans un univers Moulin Rouge, le tout joué par des marionnettes, écrit par Pedro Almodovar et vous y êtes presque » Edinburgh Evening News _ du 2 au 7 octobre 2006, à 21h (2 au 4 octobre) - 22h (5 au 7 octobre) Laughter Lounge, 4-8 Eden Quay, Dublin 2 tarifs : 20-25 euros, durée du spectacle : 1h05 (pas d’entracte) Voir aussi www.dublintheatrefestival.com --------------------- [

4D ART présente :

"La Tempête"

Traduction : Normand Chaurette
Mise en scène : Michel Lemieux, Victor Pilon et Denise Guilbault
Décor : Anick La Bissonniere
Costumes : Michel Robidas
Eclairage : Alain Lortie
Musique : Michel Smith

Une époustouflante version du chef- d’œuvre de William Shakespeare, qui mêle sur scène acteurs réels et virtuels.

Shakespeare fut en son temps intéressé par les utilisations possibles de la lanterne pour le théâtre - haute-technologie de l’époque- nul doute qu’il serait aujourd’hui fasciné par la magie digitale déployée dans La Tempête par la compagnie montréalaise 4D Art. Cette dernière présente ici une production inventive et contemporaine, s’attaquant avec brio a l’une des œuvres
les plus surprenantes et hallucinantes du Grand Barde.

Prospero, duc de Milan déchu de son trône, se voit forcé à l’exil avec sa fille Miranda. Après quelques années passées sur une île mystérieuse, un alignement inusité des astres lui permet d’orchestrer une tempête qui fait échouer sur le rivage l’ennemi responsable de sa chute, le roi de Naples, accompagné de sa suite. Prospero entraîne alors ces naufragés, dans le dessein de se venger. Ses machinations porteront fruit, mais non sans l’avoir obligé, au terme de cette aventure, à quelques renoncements.

Les acteurs de chair et de sang se mélangent parfaitement avec des personnages virtuels, un moment de taille humaine et l’instant d’après gigantesques. Les éléments sont déchainés : les éclairs déchirent le ciel, le tonnerre gronde, le vent rugit. Les habitants de l’île sont joués par des acteurs physiquement présents, tandis que les personnages rejetés sur les rivages sont les hologrammes de performances d’autres acteurs de la compagnie.
Grâce à la technologie mise en œuvre dans cette pièce, les sorts, les visions, la poésie donnent naissance à une tempête d’une telle ampleur qu’elle touche les sens, mais aussi l’esprit, révélant ainsi la puissance onirique de l’œuvre.Prospero, aidé par l’esprit Ariel, essaie d’obtenir une juste vengeance, celle qui apporte satisfaction, mais aussi bonté.

Du 3 au 7 octobre 2006
à 19h30
7 octobre : représentation supplémentaire à 14h30

O’Reilly Theatre, Belvedere College, Dublin 1
Tarifs : 20 à 30 euros
Durée du spectacle : 1h35 (pas d’entracte)

Voir aussi www.dublintheatrefestival.com